Les arbres à planter en novembre

 

Novembre est un des meilleurs mois pour planter des arbres, avec avril, mars, mai, et octobre, vous avez l’embarras du choix parmi une centaine ! Voici donc une sélection d’une quarantaine d’espèces, parmi lesquelles des communes et quelques originales.

Afin de trouver l’arbre le plus adapté à vos besoins et envies, que vous vouliez un fruitier ou non, dans votre jardin ou sur votre balcon, en pleine terre ou en pot, utilisez notre service Trouver une plante !

Vous êtes paresseux ou très occupé ? Optez pour des arbres qui demandent peu d’entretien. Vous décimez tout végétal que vous approchez ? Adoptez ceux qui n’ont besoin ni d’eau, ni de lumière ! Vous cherchez des arbres au feuillage rouge ? On les a tous en stock !

Alisier

Alisier
© Ashley Basil CC BY 2.0 / Flickr

L'alisier appartient au genre Sorbus qui compte plus de 200 espèces d'arbres et d'arbustes vivant toutes sous le climat tempéré frais de l'hémisphère nord. Il appartient à la famille des Rosacées et présente des fleurs en corymbes terminaux blanc crème ou rosées souvent malodorants et des fruits généralement décoratifs. Le feuillage simple ou composé prend souvent de jolies teintes automnales.

Abricotier

Abricotier
© Malcolm Manners CC BY 2.0 / Flickr

Par sa floraison rosée précoce succédant à celle de l'amandier et par son élégance du printemps jusqu'à l'automne, l'abricotier illumine le verger. Au port naturellement étalé, l'abricotier dépasse rarement les 6 m de hauteur. Sa longévité est comprise entre 40 et 45 ans. Trois ou quatre années après sa plantation, il peut donner des fruits.

Arbre à perruque

Arbre à perruque
© Thinkstock

Un des attraits caractéristiques de ces grands arbustes vigoureux, le plus souvent buissonnants, de 3 à 6 m de haut en moyenne, à port touffu et large, est leur feuillage vert-grisâtre ou pourpre en été, et orange-rouge flamboyant en automne. Certaines espèces ou variétés comme Cotinus 'Grace' au port plus érigé sont plus élevées jusqu’à 8 m de haut et Cotinus obovatus qui à un port d’arbre peut atteindre 10 m de hauteur. Mais il existe aussi de petites variétés de 1,2 m de haut seulement comme Cotinus Young Lady®.

Araucaria

Araucaria
© Thinkstock

L'araucaria se reconnaît par ses feuilles triangulaires et acérées, vert foncé et non résineuses qui mesurent 2-3 cm de long 1-2 cm de large. Elles persistent 10 à 15 ans avant d’être remplacées. Le tronc écailleux dans son jeune âge devient lisse avec l’âge, marqué de stries horizontales correspondant aux cicatrices des écailles. Si vous coupez une feuille ou un rameau, un latex blanc, la résine, s’écoule.

Arbre à savon

Arbre à savon
© Dinesh Valke CC BY-NC-SA 2.0/Flickr

Sapindus mukorossi, l’arbre à savon, forme un tronc court et une cime arrondie. Il mesure de 4 à 15 m de haut selon l’endroit où il pousse. Les feuilles alternes, caduques ou persistantes en fonction du climat, sont composées de 14 à 30 folioles disposées de part et d’autre d’un axe central. Le foliole terminal est souvent absent. En climat tempéré, le feuillage vert foncé mat prend une très jolie teinte jaune orangé à l’automne avant de chuter.

Aulne

Aulne
© free photos CC BY 2.0 / Flickr

Les aulnes tolèrent des sols pauvres même pollués, mais réclament un sol frais. L’aulne glutineux pousse même dans des sols marécageux où peu d’espèces sont capables de survivre hormis les saules. Il supporte également les embruns. L’aulne de Corse tolère davantage le calcaire et les sols secs que l’aulne glutineux.

Plantez-les au soleil de préférence pour obtenir un arbre bien développé même s’ils tolèrent la mi-ombre, voire l’ombre avec cependant une longévité amoindrie.

Cade

Cade
© jacinta lluch valero CC BY-SA 2.0 / Flickr

Son feuillage bleu-vert persistant (un peu gris en dessous) est très dense et formé d’aiguilles étroites d’environ 2 cm de long, piquantes et groupées par trois tout le long des rameaux.

Le genévrier cade est dioïque (il porte des fleurs mâles et des fleurs femelles sur deux pieds différents) et ses fleurs peu visibles apparaissent en hiver jusqu’au printemps. Les fleurs femelles donnent des fruits ronds et secs d’environ 1 cm de diamètre, d’abord verts, puis marron, ce qui permet de repérer les pieds femelles.

Asiminier

Asiminier
© rockerBOO CC BY-SA 2.0 / Flickr

L'asiminier possède de grandes feuilles pendantes qui atteignent 15 à 30 cm de long. Elles offrent un aspect très exotique du fait de leur pétiole court et de leur orientation vers le sol qui leur donne une forme en parapluie. Elles sont caduques et leur disposition est alterne. Le feuillage apparaît assez tard en mai et prend de belles tonalités jaune d'or puis brunes à l'automne.

Calocèdre

Calocèdre
© Forest and Kim Starr CC BY 2.0 / Flickr

Calocedrus decurrens est une espèce très rustique des montagnes fraîches et humides de la côte pacifique des États-Unis vivant à proximité des séquoias.Le calocèdre mesure 30 à 45 m de haut pour une largeur de 2 à 4 m à la base. Sa croissance moyenne lui permet d’atteindre 2,50 à 3 m au bout de 10 ans mais elle peut être beaucoup plus rapide selon les conditions. Sa longévité dépasse 500 ans.

Châtaignier

Châtaignier
© Thinkstock

Le châtaignier porte de longues feuilles elliptiques jusqu’à 25 cm de long et 4 à 8 cm de large, à pétiole très court. Les bords sont dentés et les nervures du limbe sont parallèles et bien marquées. Les feuilles vert foncé luisant sur le dessus et plus mâtes au revers, sont caduques et alternes. Elles se colorent de jaune doré à l’automne avant de brunir.

Cèdre

Cèdre
© Thinkstock

Arbre d’ornement majestueux, le cèdre est mis en valeur par une situation isolée au centre d’un vaste espace. Mais son port spectaculaire et sa longévité en font aussi un sujet de culture passionnant et apprécié par les amateurs de bonsaï. Leurs branches étagées s’étalent horizontalement ou légèrement ascendantes (sauf pour les variétés pleureuses).

Les feuilles sont des aiguilles assez courtes regroupées en rosettes denses sur des rameaux assez courts, garnissant entièrement les branches pour les cèdres du Liban et de Chypre. 

Chionanthus

Chionanthus
© Thinkstock

Chionanthus virginicus, l'espèce la plus répandue dans nos jardins, est une espèce des bois et fourrés humides peuplant une large frange est des États-Unis. Il forme un buisson au port large, arrondi et irrégulier et peut même se mener en arbre de 3 à 9 m de haut si vous prenez soin d’élaguer les branches basses.

Les feuilles simples, opposées d’un vert franc sont velues sur le revers. Elles naissent juste au moment de la floraison pour atteindre 15 à 20 cm de long sur une largeur un peu plus importante que chez Chionanthus retusus, de 6 cm. Les couleurs automnales sont d’un splendide jaune d’or.

Clérodendron

Clérodendron
© Thinkstock

Clerodendrum trichotomum surnommé « L’arbre de la chance » est originaire de Chine et du Japon. Il forme un buisson de 3 m sur 2 de large et se reconnaît aisément à l’odeur forte de beurre de cacahuète que ses larges feuilles caduques dégagent au froissement.

Ses rameaux touffus portent en août-septembre de grandes panicules de fleurs blanches étoilées, délicieusement parfumées, qui se teintent de mauve pâle avec l’âge. Le calice anguleux est de couleur jaune pourpre. Les fleurs sont suivies de baies d’un coloris bleu métallique exceptionnel, mis en valeur par le calice devenu rouge vif.

Cognassier

Cognassier
© Stefano CC BY-NC-SA 2.0 / Flickr

Les cognassiers étaient déjà cultivés dans la Grèce antique. L’histoire raconte que les Grecs offraient un coing en cadeau lors des mariages et que la mariée, avant d’entrer dans la chambre nuptiale, en croquait un morceau pour parfumer sa bouche.

Le cognassier est un arbre facile, qui s’adapte à tous les climats. Installez-le en pleine terre, au soleil ou en situation mi-ombragée, dans un endroit dégagé et abrité des vents froids. Le sol idéal est neutre, voire légèrement acide, mais le cognassier s’adapte à tous les terrains. Les terres légèrement calcaires peuvent lui convenir (jusqu’à 7-8 %), mais sa fructification sera plus irrégulière.

Cornouiller

Cornouiller
© Thinkstock

Le cornouiller est un arbre ou un arbuste à feuilles caduques ou persistantes appartenant au genre Cornus, composé d’environ 45 espèces originaires des régions tempérées de l’hémisphère Nord : Europe, Asie et Amérique du Nord.

Les feuilles vertes, parfois dorées ou panachées selon les variétés, offrent un flamboiement orange, rouge ou violet en été et en automne, avant de tomber pour laisser apparaître les rameaux aux couleurs vives, rouges, jaunes, orange, en hiver.

Cyprès de Leyland

Cyprès de Leyland
© Mark Bolin CC BY-SA 2.0 / Flickr

Le cyprès de Leyland est un genre hybride de conifère apparu par hasard à la fin du XIXsiècle en Angleterre et cultivé ensuite pour la première fois par l’Anglais Leyland.

Grâce à ses nombreux atouts (croissance rapide, grande rusticité et tolérance aux sécheresses passagères, se prêtant bien à la taille, ramure persistante formant écran, bonne résistance aux vents… et enfin coût relativement peu élevé), le cyprès de Leyland est devenu l’arbre le plus utilisé de nos jours pour créer rapidement de belles haies protégeant des vents et des regards.

Deutzia

Deutzia
© Thinkstock

De la famille des Hydrangéacées, comme les hortensias, le deutzia est un arbuste facile à vivre, de dimensions raisonnables et très rustique sous notre climat, au moins jusqu’à -15 °C. Seul le vent du nord en hiver peut lui nuire en détruisant une partie des boutons floraux.

Il est toujours vendu en conteneur, il peut donc être planté toute l’année, sauf en période de gel ou de sécheresse. L’hiver reste cependant la meilleure saison pour planter le deutzia avec de meilleures chances de bonne reprise au printemps.

Érable de Montpellier

Érable de Montpellier
© Mario Quevedo CC BY 2.0 / Flickr

De croissance lente, l'érable de Montpellier peut être buissonnant lorsqu’il est jeune mais il peut aussi, au fil des années, atteindre 5 à 10 m de hauteur sur autant de large. Il peut vivre une centaine d’années. Âgé, son port tend à s’étaler de façon pyramidale avec un arrondi à sa cime.

Ses feuilles, caduques, plus petites (3 à 5 cm) que celles des autres espèces courantes en France, sont nettement trilobées. De couleur vert foncé et luisantes sur la face supérieure, elles prennent en automne de magnifiques teintes de couleur rouge-orangé.

Érable du Japon

Érable du Japon
© Thinkstock

Pouvant être qualifiés de grands arbustes ou de petits arbres, leurs tailles varient de 1,25 m pour les plus petits (Acer palmatum 'BloodGood') à 3 à 5 m de haut pour les plus nombreux et jusqu’à 10 m pour les plus hauts. Leur croissance lente permet de les cultiver aussi en bac que ce soit au jardin ou en terrasse.

Pour une meilleure reprise, préférez les installer à l’automne après la chute de leurs feuilles ou au printemps, en particulier dans les régions aux hivers rudes.

Orme

Orme
© anro CC BY-SA 2.0 / Flickr

Le genre Ulmus réunit vingt à quarante espèces d’arbres, parfois d’arbustes, très rustiques, peuplant l’hémisphère nord tempéré (Europe, Amérique du Nord, Chine, Japon). La longévité de l’orme dépasse 500 ans.

La plupart des ormes forment un grand houppier en dôme muni de grosses branches, jusqu’à 40 m de haut en sol profond et bien drainé. L’écorce est grise à brunâtre, cannelée et crevassée dans le sens de la longueur, ou obliquement sur les sujets âgés. Les bourgeons ovoïdes sont asymétriques et la pousse terminale avorte en cours de saison ou en fin d’été selon l’espèce, pour céder la place à un bourgeon latéral. Les rameaux sont grêles, sinueux et ramifiés sur deux rangs.

Genévrier

Genévrier
© Yvan 83 500 CC BY 2.0 / Flickr

Les genévriers aiment le plein soleil mais peuvent tolérer la mi-ombre. Selon les espèces et variétés, les exigences pour la qualité du sol et les lieux d’exploitation seront différentes. Certaines pousseront mieux dans un sol calcaire et sec tels les Juniperus communis, alors que les Juniperus horizontalis les redouteront.

Févier d'Amérique

Févier d'Amérique
© Nuuuuuuuuuuul CC BY 2.0 / Flickr

Le févier d’Amérique Gleditsia triacanthos est une espèce présente dans le centre des États-Unis du nord au sud. Le feuillage alterne brillant, vert sombre a la particularité d’être de 2 types. Les feuilles qui naissent au débourrement sur les rameaux nains et à la base des rameaux longs sont pennées, composées de 14 à 30 folioles tandis que les feuilles apparaissant pendant la saison de végétation sont composées et bipennées. Le feuillage se teinte d’un jaune profond à l’automne et chute précocement.

Ginkgo biloba

Ginkgo biloba
© Thinkstock

Le ginkgo présente une résistance exceptionnelle au temps, aux parasites et à la pollution. Le ginkgo fut la première espèce végétale à redémarrer au printemps suivant l’explosion nucléaire d’Hiroshima.

Le ginkgo peut être cultivé en arbre isolé ou en alignement. Son nom populaire d’arbre aux quarante écus prend toute sa signification en automne, en raison de la couleur dorée de ses feuilles en éventail.

Sophora

Sophora
© Jon Sullivan CC BY-NC 2.0 / Flickr

Le sophora du Japon est une des rares formes arborescentes de cette famille des Fabacées à vivre en zone tempérée, avec le robinier faux-acacia (Robinia pseudo-acacia). C’est un arbre vigoureux de 8 à 25 m de haut, qui possède une silhouette régulière arrondie, avec de jeunes rameaux facilement reconnaissables en hiver, car l’écorce reste verte piquetée de lenticelles blanchâtres pendant 3 ans.

Jacaranda

Jacaranda
© Thinkstock

Le genre Jacaranda comprend une cinquantaine d’espèces toutes originaires d’Amérique du Sud et notamment du Paraguay, de l’Uruguay, du sud du Brésil et d’Argentine.

Les feuilles opposées bipennées possèdent au moins 13 à 31 pennes portant chacune 15 à 41 folioles très fines (10 x 6 mm) qui lui ont valu le surnom anglais de Fern Tree (arbre fougère). Elles mesurent 15-30 cm de long sur 12-25 cm de large et sont groupées vers le sommet des rameaux. Les feuilles chutent pendant la saison sèche ou en hiver selon la zone climatique si bien que les premières fleurs éclosent généralement sur le bois nu.

Kaki

Kaki
© Thinkstock

Le kaki désigne à la fois le fruit et l’arbre qui le produit : Diospyros kaki, appelé encore plaqueminier de Chine. Le kaki est un fruit rare mais familier des étals d’automne et d’hiver car son apparence de grosse tomate rouge orangé attire tout de suite l’œil.Les feuilles oblongues, vert franc et brillantes dessus sont à bords lisses et mesurent une quinzaine de centimètres de long. Caduques, elles prennent de magnifiques couleurs pourpres à l’automne avant de chuter. Le revers des limbes, légèrement velu, est de teinte plus claire.

Marronnier d'Inde

Marronnier d'Inde
© Mauricio Mercadante CC BY-NC-SA 2.0 / Flickr

Le genre Aesculus comprend une vingtaine d’espèces d’arbres ou d’arbustes caducs dont la moitié proviennent d’Amérique du Nord où ils portent le nom de pavier, le reste venant d’Europe et d’Asie tempérée.

Les grandes feuilles opposées sont palmées, vert sombre, comportant 5 à 7 folioles élargies au trois quarts de leur longueur puis terminées abruptement en pointe. Les folioles sont à bords dentelés et mesurent 10 à 25 cm de long, la foliole terminale étant la plus longue. Le feuillage brunit à l’automne avant de chuter.

Liquidambar

Liquidambar
© Mariano Nazareno Gonzalez Bettendorff CC BY-NC-ND 2.0/Flickr

Le genre Liquidambar regroupe quatre espèces d’arbres d’Amérique et d’Asie de la famille des Hamamélidacées. Le copalme d’Amérique, Liquidambar styraciflua, est le plus connu d’entre eux mais son cousin de Turquie, Liquidambar orientalis est un arbre de plus petite taille, tout aussi décoratif à l’automne.

Plantez-le de préférence à l’automne afin de favoriser sa reprise d’une part et de choisir votre sujet en fonction de ses couleurs d’automne, son principal atout d’autre part.

Mûrier

Mûrier
© Thinkstock

Le mûrier est un arbre de taille moyenne, de croissance rapide (mûrier blanc) ou lente (mûrier noir). Avec l’âge, son tronc devient noueux et remarquable. Ses feuilles caduques, dentées et parfois lobées, cordiformes, renferment un suc laiteux. Le mûrier est le dernier arbre à se feuiller ; aussi, est-il l’emblème de la sagesse et de la prudence car cette feuillaison tardive lui évite d’être atteint par les gelées tardives.

Métaséquoia

Métaséquoia
© Thinkstock

Le métasequoia est un arbre de 35 m de haut en moyenne mais qui peut atteindre 60 m de haut chez les sujets les plus anciens, vieux de 300 ans. Cet arbre s’adapte à des conditions climatiques diverses allant des zones très froides et sèches (latitudes de l’Alaska - Leningrad - Copenhague) jusqu’à des régions où la moyenne des températures annuelles se situe entre 12 et 20 °C !

Néflier commun

Néflier commun
© Wonderlane CC BY 2.0 / Flickr

Sa large cime arrondie, constituée de grandes feuilles coriaces et brillantes, lui donne une belle allure exotique bien qu’il soit capable de tolérer des gels à -15 °C sans aucun dégât sur les feuilles. Il atteint rapidement 6 m puis sa cime se densifie jusqu’à former un élégant parasol, parfait pour l’ombrage. Son feuillage dense et sombre persiste réellement tout l’hiver. Le dessous des limbes est velu et blanc roussâtre.

Noyer

Noyer
© Thinkstock

Le noyer a l'avantage d'être très rustique (jusqu'à -25 °C). Cependant, ses jeunes pousses vertes craignent les gelées printanières. Pour les régions situées au nord, il existe des variétés plus tardives qui évitent ainsi le risque des gelées de printemps.

Prenez garde lors de son implantation à lui laisser une place suffisante car il est très imposant !

Paulownia

Paulownia
© Janet E. Powell CC BY-SA 2.0 / Flickr

Le genre Paulownia comprend 17 espèces d’arbres caducs originaires du sud et de l’est de l’Asie. Elles poussent toutes entre le 20e et le 30e parallèle nord, sous des climats tempérés chauds à tropicaux.

Ces arbres rustiques ont une large cime arrondie et de grandes feuilles en forme de cœur, opposées.

Prunier

Prunier
© François Philipp CC BY 2.0 / Flickr

Magnifique du printemps à l'automne, le prunier offre ses prunes, mirabelles, quetsches, pruneaux et reines-claudes… Intéressant pour ses fruits savoureux, il peut aussi être un arbre décoratif.

Selon les variétés, les prunes arrivent à maturité entre fin juin et septembre et se dégustent de mille et une façons. Facile à cultiver, le prunier nécessite peu de soins.

Pittosporum

Pittosporum
© Forest and Kim Starr CC BY 2.0 / Flickr

Les pittosporums s’adaptent à tout type de sol bien drainé mais cependant pas trop calcaire et sec. Ils se développent mieux dans un sol profond et riche. Ils résistent, pour la plupart, à des épisodes occasionnels de sécheresse et se plaisent dans un climat de type méditerranéen.

Peuplier

Peuplier
© Stephane Mignon CC BY 2.0 / Flickr

Le genre Populus appartient à la famille des Salicicacées tout comme les saules. Il comprend une trentaine d’espèces poussant naturellement dans les zones tempérées de l’hémisphère Nord, ainsi qu’un grand nombre de cultivars et d’hybrides. Certains sont plutôt destinés à la culture de production de bois de peuplier.

Pommier

Pommier
© F. D. Richards CC BY-SA 2.0 / Flickr

Les origines du pommier remontent à la nuit des temps. L'espèce est probablement originaire d'Asie centrale et du Caucase. Son nom provient du latin Pomum qui signifie « fruit à pépins ».

Il existe plusieurs milliers de variétés de pommes, de l'acidulée à la sucrée. Retenez que les pommes les plus précoces se consomment dès le mois de juillet, et les plus tardives se cueillent en novembre et se conservent jusqu'au mois de mai de l'année suivante.

Pistachier

Pistachier
© Philippe L Photography CC BY-SA 2.0 / Flickr

Le genre Pistacia compte 9 espèces d’arbres et d’arbustes, caducs ou persistants, de l’hémisphère nord, appartenant à la famille des Anacardiacées. Le feuillage du pistachier lentisque est persistant, composé d’un nombre pair de folioles ce qui le différencie du pistachier térébinthe, caduc et à nombre impair de folioles.

Sapin

Sapin
© Stefan Kapeller CC BY 2.0 / Flickr

De la famille des Pinacées, le genre Abies comprend environ 50 espèces de sapins. À l’état naturel, c’est un grand arbre au port élancé et conique. Son tronc bien cylindrique est rectiligne. Ses branches régulièrement insérées en verticilles sont étagées du pied au sommet.

Outre son emploi décoratif au jardin, isolé ou planté en haies majestueuses, le sapin, rustique et résistant, est utilisé comme espèce de reboisement.

Poirier

Poirier
© Gary Owens CC BY 2.0 / Flickr

Le poirier est un des arbres fruitiers les plus appréciés que ce soit pour ses fruits savoureux ou sa floraison printanière blanche ou légèrement rosée. Son feuillage caduc de couleur vert luisant est touffu et bien dense.

Même si certaines variétés comme la 'Williams', la 'Conférence' ou la 'Guyot', sont données pour auto-fertiles, la mise à fruits sera meilleure avec une pollinisation croisée. Il est donc préférable d'installer un deuxième poirier de variété différente, qu'il ait été planté par vous ou chez un voisin.

Tamaris

Tamaris
© miluz CC BY 2.0 / Flickr

Il existe de nombreuses espèces de tamaris originaires d’Europe septentrionale et d’Asie. Seules quelques unes se trouvent dans le commerce ainsi que de nombreux cultivars. Selon les variétés, au printemps ou en été et en automne, ses rameaux se couvrent littéralement de petites fleurs, le plus souvent rose pâle (mais aussi plus ou moins foncé), regroupées en grappe d’épis plus ou moins denses, plus ou moins longs et retombants.

Saule

Saule
© ✿ nicolas_gent ✿ CC BY-ND 2.0/Flickr

L’intérêt ornemental des saules pleureurs souvent installés dans de grands jardins ou au bord de pièces d’eau explique qu’ils soient très répandus dans toutes nos régions depuis deux siècles. Mais les autres espèces de saules de tailles plus modestes, mais qui ne manquent pas d’intérêt esthétique tout en étant plus faciles à installer, tendent à se répandre dans nos jardins.

Sumac de Virginie

Sumac de Virginie
© scott.zona CC BY 2.0 / Flickr

Arbustes ou petits arbres, jusqu'à 5 m de hauteur, les sumacs de Virginie ont une ramure étalée qui leur donne au fil des ans un port érigé en forme de parasol, assez clairsemé, avec la cime arrondie. Leurs branches tortueuses poussent de façon assez anarchique et sont très cassantes. Les jeunes rameaux, velus, semblent recouverts d'un velours brun-rosé.

Leurs grandes feuilles sont découpées en folioles, plus ou moins dentées selon les variétés, de forme lancéolée et pouvant atteindre jusqu'à 7 à 10 cm. Ces folioles que l'on prend à tort pour des feuilles sont groupées par une à trois dizaines. D'un beau vert profond au printemps, elles virent progressivement à l'automne du jaune tendre à l'orangé et au rouge flamboyant. Elles sont ensuite caduques.

Trouvez le bon arbre à planter en novembre !

Trouvez le bon arbre à planter en novembre !
© Finemedia

Voici une dizaine d’autres arbres à planter en avril : amandier, buis, cerisier, chêne, coronille, cyprès chauve, épicéa, figuier, micocoulier de Provence, noisetier, olivier, robinier… et bien plus encore !

Affinez votre recherche en fonction du pH du sol, de l’ensoleillement ou encore du climat de votre région grâce à notre service Trouver une plante !

Ces pros peuvent vous aider